On va espérer qu’enfin le printemps démarre vraiment, pour profiter pleinement du bassin, et que les épisodes de gel ne soient qu’un lointain souvenir. On rappellera toutefois que ceux-ci peuvent intervenir, selon les régions, jusqu’à tard dans l’année. Ce n’est pas pour rien que l’on célèbre depuis longtemps (le Moyen-Âge !) les « Saints de glace » qui ont lieu à la mi-mai.
.
Un beau bassin, c’est possible ! À condition bien sûr de respecter certaines règles, notamment dans le contrôle et l’entretien. C’est ce que l’on vous propose dans le n°150 de L’Aquarium à la maison.
Photo : Sébastien Carrere
Avoir un jardin est une chance, d’autant plus pour nous les aquariophiles, amoureux de la nature. Voilà pourquoi les heureux possesseurs d’un morceau de terrain, même le plus infime, n’auront qu’une envie : y établir bien vite un bassin.
Si vous débutez votre première installation, nous vous conseillons vivement la lecture de l’article de Patrick A. dans le n°150 de L’Aquarium à la maison. Baptisé « Un bassin dans son jardin », l’auteur reprend la conception d’une pièce d’eau et sa réalisation. En outre, il nous détaille l’entretien de ce bassin. Cela ne pourra que vous donner des idées pour votre future installation et surtout comment vous en occuper au fil du temps. Car vous risquez de rencontrer certaines déconvenues, à l’instar des algues qui peuvent ruiner en quelques jours votre décor idyllique ! Pas de panique : il existe des solutions à la portée de tous, évidemment mentionnées par l’auteur.
Pour ce numéro coïncidant avec la période mars / avril, habituellement synonyme de réveil de la pièce d’eau, Isabelle Cazalis répond à cette question cruciale : « Quelle qualité d’eau pour mon bassin ». En effet, comme en aquarium, la qualité de l’eau du bassin est d’une importance extrême. Certains pourront relativiser en affirmant que c’est une « banale » pièce d’eau soumise aux conditions naturelles, et que comme une mare dans un environnement sauvage, celle-ci va s’autoréguler. Ce n’est pas si vrai, loin de là ! En effet, malgré une situation en extérieur, le bassin n’est pas si connecté que cela avec le jardin. Par exemple, qu’il soit de béton ou constitué d’une bâche PVC ou EPDM, voire d’un modèle thermoformé, celui-ci se trouve isolé de la terre l’environnant. Ainsi, il n’est pas alimenté, même de manière infime, par un écoulement d’eau qui viendrait l’approvisionner, comme c’est parfois le cas dans une mare sauvage. Dans ce dernier cas, cette même terre peut également apporter divers minéraux permettant de stabiliser le pH, limitant fortement les risques d’acidose. Ce n’est pas forcément le cas du bassin fabriqué, souvent en matériaux neutres, où l’eau de pluie qui l’aura rempli finira par trop l’acidifier (sans parler des rares minéraux consommés par les plantes et les poissons y évoluant). Des tests réguliers contribuent donc à s’assurer des bons paramètres. Et dans le cas contraire, de pouvoir intervenir pour y remédier, par exemple avec un apport d’eau de conduite. Dans ce cas également, l’auteure nous donne diverses solutions aux problèmes rencontrés.
Ces articles « Spécial Bassin » sont donc à retrouver dans le n°150 en cours, disponible en kiosque et chez nos revendeurs partenaires. Vous pouvez aussi le commander sur notre boutique en ligne (frais de port offerts) :
https://www.aquariumalamaison.com/le-magazine/406-aquarium-a-la-maison-n-150-mars-avril-2022.html
Découvrez où trouver notre magazine en kiosque près de chez vous, grâce au Store Locator, en cliquant sur le lien ci-dessous :
https://web2store.mlp.fr/produit.aspx?edi_code=Lz44AKLdiYY%3D&tit_code=Pp4EB%2FyrXkE%3D
Philippe Chevoleau
